Pèlerinage Notre Dame du Laus 2010


 

NOUVEAU PELERINAGE DU 13 AU 20 SEPTEMBRE 2010 AU LAUS ET LA SALETTE:
REJOIGNEZ NOUS A NOTRE DAME DU LAUS ET LA SALETTE !
SUITE A NOTRE PELERINAGE EN AOUT A PARAY-LE-MONIAL SI EXTRAORDINAIRE, DE NOTRE PETITE FAMILLE DE PRIERE D'AVE MARIA TOUTE UNIE A LA PETITE EGLISE DEPENDANTE DIRECTEMENT DU VATICAN DEPUIS DES GENERATIONS, EH BIEN VOICI UNE NOUVELLE INVITATION DU CIEL POUR NOUS REJOINDRE:


A NOTRE DAME DU LAUS ET LA SALETTE : ATTENTION AUX NOUVELLES DATES :
RENDEZ-VOUS DU LUNDI 13 AU LUNDI 20 SEPTEMBRE 2010 :
Mais n'oublions pas que seul le chèque avec le montant total de 350 Euros fait office de réservation officielle pour le pèlerinage à adresser d'urgence à:
Mr Christian JOSEPH
1 rue David d'Angers
59 140 Dunkerque
Infiniment merci pour votre compréhension en répondant vite à cet appel là car Christian a déjà avancé l'argent de réservation pour nous tous ! Ave Maria !
Courage, JESUS arrive ! Ave St Joseph ! Amen !
http://avemariacorse.spaces.live.com/


RETROUVONS NOUS A NOTRE DAME DU LAUS ET LA SALETTE DU LUNDI 13 AU LUNDI 20 SEPTEMBRE 2010 ! QU'ON SE LE DISE !
NOUS SERONS LOGES AU SANCTUAIRE NOTRE DAME DU LAUS ET NOUS NOUS RENDRONS A LA SALETTE LE DIMANCHE 19 SEPTEMBRE 2010, EN LA FÊTE DE L'APPARITION DE NOTRE DAME DE LA SALETTE.
VOIR: Images correspondant à notre dame de la salette
SITE OFFICIEL: http://lasalette.cef.fr/article.php3?id_article=7
VIDEO: http://www.dailymotion.com/video/xcqei2_notre-dame-de-la-salette_news

Vidéo de présentation sur la Salette :
http://www.youtube.com/watch?v=gR_0PBKDWcU&feature=related
http://www.youtube.com/watch?v=04DLvoN0faQ&NR=1

PREPARONS NOUS A CE PELERINAGE PAR NOTRE FIDELITE QUOTIDIENNE AU CHAPELET DU DIVIN DECRET D'AMOUR EN HABIT DE PRIERE AVEC JOIE !
QUE JESUS SOIT AIME DE TOUS LES COEURS ! AINSI SOIT-IL ! ALLELUIA !!!
Prières du Divin Décret d'Amour Liturgie catholique du Divin Décret d'Amour

PRIX DU SEJOUR COMPLET AVEC LA NAVETTE EN CAR : 350 Euros par personne.
INSCRIPTION D'URGENCE A CHRISTIAN AU : 06 38 67 10 48
 


PRESENTATION DE NOTRE DAME DU LAUS PAR CETTE VIDEO :
VIDEO :http://www.youtube.com/watch?v=T4zPVI6KgFM&feature=related
ET par ce site : http://www.notre-dame-du-laus.com/Preparer.html

FILM DE JESUS DE NAZARETH A VOIR:
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VOIR : Liens et merci-­marie.­fr
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Notre Chanteur en pèlerinage à Paray-Le-monial : voir son site : merci-­marie.­fr
Et du même auteur ce splendide site là également : http://www.bravomarie.fr/


COURAGE ! JESUS ARRIVE ! L'EVIDENCE DES SIGNES SONT LA : CE SONT CEUX DE L'EVANGILE !
EN EFFET NOTRE PETITE FAMILLE DE PRIERE EN HABIT DE NOCE ET AUX COULEURS DU VATICAN VOUS ANNONCE CETTE BONNE NOUVELLE DU RETOUR DE JESUS COMME ST JEAN BAPTISTE !
NOUS AVONS VU ET NOUS VOYONS CHAQUE NUIT BRILLER L'ETOILE DE DAVID MIRACULEUSE, LA PLUS BRILLANTE DE TOUTES LES ETOILES APPARAÎTRE A PARTIR DE 23H30 LE PLUS SOUVENT, NOTRE STELLA MARIS QUI A COMMENCE SA COURSE LE 5 JUILLET 2010 A NOTRE DAME DES FLOTS EN CORSE.
CETTE ETOILE FASCINANTE BOUGE ET CLIGNOTE SOUS NOS YEUX, ET DONC COMME LES ROIS MAGES QUI ONT VU L'ETOILE A LA NAISSANCE DE JESUS, NOUS ANNONCONS L'IMMINENCE DU RETOUR DU MESSIE NOUS AUSSI ! EN PLUS NOUS VOYONS DEPUIS NOTRE PELERINAGE A PARAY-LE-MONIAL, LE MIRACLE DU SOLEIL, C'EST A DIRE QUE NOUS POUVONS FIXER LE SOLEIL A SON LEVER OU SON COUCHER SANS ÊTRE EBLOUIS, CAR LE SOLEIL SE TRANSFORME ALORS EN HOSTIE BLANCHE AUREOLEE DE ROSE DE BLEU OU DE DORE, VOYEZ CES PHOTOS LA EN TEMOIGNAGE DE CE QUE NOUS VOUS ANNONCONS EN TOUTE VERITE :
 

Notre petite famille de prière du Pape Benoit XVI devant le miracle du soleil
 

Arlette, Angèle et Agnès, en habit de noce et de prière à Moriani-plage en Corse à l'heure du miracle de l'Etoile de David et de Stella Maris en Juillet 2010 ...
 

 

SITE DE REFERENCE : http://divin-decret-damour-de-jesus.org/  :

Lettre solennelle pour le Pape Benoit XVI
Paray le Monial août 2010
Photos miraculeuses

 


NOUVELLES DU PELERINAGE DE NOTRE DAME DU LAUS ET DE LA SALETTE
http://avemariacorse.spaces.live.com

LETTRE AU SAINT PERE BENOIT XVI : EN FRANCE LE 22 SEPTEMBRE 2010

 



Très Saint Père Bien-aimé Benoît XVI,
Regardez, je viens humblement implorer ici votre bénédiction Papale,
En faveur de notre petite famille d’amour et de prière si attachée à vous,
S’unissant d’un seul cœur à la petite Eglise de France par la Vendée si loyale.+

Souffrant tout avec Jésus pour le triomphe de son Sacré-Cœur, ici à genoux,
Acceptez, s’il vous plaît ma demande si urgente comme un dernier signal,
Invitant votre Sainteté, à répondre à cette lettre envoyée pour vous.
Notre petite famille d’amour et de prière qui défend cinq blancheurs royales,
Toute dévouée à l’Eglise en priant pour vous soutenir se fait insulter de tout.+

Priant tous d’un seul cœur pour le Retour glorieux de Jésus sur la terre,
En fait, Très Saint Père, nous défendons avec vous cinq grandes valeurs :
Respectant avec amour la première blancheur de l’Eucharistie et la prière
En l’honneur de Notre Dame, et vous aimer très Saint Père en 3ème blancheur+

Bien entendu, nous vivons la pureté du langage en Français vis-à-vis de Dieu,
En vouvoyant Notre Seigneur et les saints du Paradis durant la sainte liturgie,
Nous laissant revêtir d’un habit de prière exactement comme les confréries,
Osant croire au message du Divin Décret d’Amour du Sacré-Cœur Glorieux,
Indiquant au monde la joie de nous préparer à vivre enfin le règne de Dieu.
Très Saint Père, veuillez agréer ma demande : que par vous nous soyons bénis.+

X pages au moins vous sont envoyées, Très Saint Père, par Mr Joseph Christian,
V blancheurs lumineuses sont mises en lumière par nous avec dévouement,
Implorant votre Bénédiction Papale, comme je vous supplie si humblement.+

Que Jésus soit aimé de tous les cœurs ! Amen. +
Votre toute petite sœur messagère Agnès Mignoni
Demeurant chez Christian Joseph Villa Croce « U Scalu »
20230 Santa Lucia Di Moriani / Haute-Corse / France.
http://divin-decret-damour-de-jesus.org
agnesmaria2005@yahoo.fr .

 


JOURNAL DE BORD DU PELERINAGE A NOTRE DAME DU LAUS
ET NOTRE DAME DE LA SALETTE DU 13 AU 20 SEPTEMBRE 2010 :
VOIR L’ALBUM PHOTO SUR : http://avemariacorse.spaces.live.com


RETOUR DE FLAMMES à Notre Dame du LAUS !
LETTRE AU SAINT PERE :
De la part de Mr. Christian JOSEPH
Avec la lettre ouverte au père Ludovic…Recteur de Notre Dame du LAUS


Nous étions donc réunis à Notre Dame du Laus pour notre troisième célébration !
On avait déjà bien senti que nous n’étions pas vraiment ici les bienvenus dans la maison.
Tout était dit dans la première homélie : nous créions la division en faisant tâche !
Refoulé au passage par une mère supérieure, il ne fallait surtout pas que je me fâche
Et, tancé, par le virulent sermon du père Robert, j’avais l’impression d’être un Apache !

Dans l’introduction du recteur qui signalait à la foule ma grande désobéissance
A n’avoir pas suivi ses ordres de ne pas porter nos habits et de garder silence
Mais il les appelle : « des costumes… », on sentait qu’il n’aimait pas nous voir
Et il ne me regarda d’ailleurs jamais ! Je devais être pour lui comme un trou noir !

Devant son subtil reproche sur mon comportement frondeur à ne lui obéir jamais,
Un sursaut lui fit dire soudain que notre insoumission, en fait, nous desservait !

Bravant les fidèles comme ces orateurs qui, profitant de leur poste prennent le micro
Osant accuser à demi-mots, mais passent ensuite beaucoup moins subtilement à la radio,
Il ne laissa bien sûr pas le moindre petit droit de réponse ni même ne le proposa,
Sûr qu’il était de son bon droit et lieutenant de toute son autorité qu’il nous démontra.

Voyant ses beaux discours sans un seul beau sourire ni un regard chaleureux,
Et me disant qu’il n’accueillerait pas Jésus dans son église en étant très heureux,
Remarquant que l’éloquence de son verbe surpassait fort la charité de son cœur,
Tout à mes prières, je me dis que son Eglise quelque part aujourd’hui faisait peur !

Ah ! Si les prêtres savaient écouter le bon peuple de Dieu comme dit frère Martin,
L’Eglise serait sauvée ! Mais ils préfèrent leurs palabres à la belle messe en latin !
La communion dans la main ne les choque même plus ! Ils ne disent plus : «Vous »
Et ils nous regardent étonnés quand nous nous mettons humblement à genoux !
Les mots, père Ludovic, passent, mais les écrits restent dans toutes les bonnes âmes.
Une salve surprise comme la vôtre, mérite, à mes yeux, un vrai retour de flammes !
Il faut dire au peuple quand même que je vous avais prévenu de ma désobéissance
A notre premier entretien : nous ne rendons compte qu’à Benoît XVI pour la France.

Alors, la messagère, guidée par son bon sens vint vous trouver comme prêtre recteur,
Mais après la messe, s’agenouilla humblement devant vous et, les deux mains sur le cœur,
Etant inclinée, vous demanda pardon si quelque part nous avions pu vous choquer !
Nonobstant, vous lui fîtes remarquer qu’à votre avis, on ne vous avait pas obéi assez !

Ah ? Vous devez obéir à vôtre évêque Franc-maçon ! Mais nous, il se trouve que non !
La force que nous tenons vient du Père éternel et aussi de son Pape qui est si bon.
La remarque faillit vous étrangler car, bien sûr, vous vouliez avant tout nous soumettre
Et comme on vous fit remarquer qu’il vous fallait d’abord obéir au Pape qui est maître,
La moutarde vous monta très vite au nez pour votre dernière bénédiction privée.
Une fois n’est pas coutume, car l’âne que je suis sait très bien se faire insulter !
Il n’avance que sous les coups de son maître Saint Joseph mais pas sous les vôtres !
Ah ! Pourtant, père Ludovic, je vous avais bien dit que j’étais un drôle d’apôtre !

Alors, comme vous avez courageusement frappé le second, après le père Robert,
Mais avec un air moins méchant, il faut le dire pour que tout reste bien clair
Et surtout le reconnaître, je vous dis qu’au Vatican, dés demain, ils sauront,
Narré par le détail, les incidents que vous avez déclenché ces jours en amont !

Ah ! Je suis persuadé que vous avez bien écouté mes cadeaux de chanteur engagé,
Mais votre comportement était bien plus gentil avant ! Cela ne m’a pas rassuré !
Et je crains fort que vous n’ayez pris ombrage de nos si beaux habits de lumière !
Néanmoins, notre porte vous restera toujours ouverte puisque vous êtes père.

A croire que de nos jours par tous ces bruits qui courent dans les sanctuaires,
Mais, on devient incapable de croire qu’aujourd’hui il existe des messagères
Et qu’elles puissent elles aussi annoncer avec joie le retour de Jésus-Christ !
Non ! Vraiment depuis mille six cent soixante quatre, on n’a rien appris !

Avec nos habits de lumière, il semblait bien vraiment que nous vous dérangions
Mais vous n’avez pas voulu nous écouter, préférant les conseils des Franc-maçons
Et la communion debout dans la main, en reniant nos premières royales places,
Niant que les couleurs du Vatican dussent être dans votre église en première place.

Aussi, nous ne venions chez vous que pour annoncer l’amour, la paix et la joie du Père !
Mais vous n’avez pas voulu comprendre ni adhérer au message par votre air si sévère…
Et vous n’avez pas saisi l’essence même de notre petite famille de prière et d’amour.
Néanmoins, vous ne pourrez plus dire que vous n’êtes pas au courant à ce jour !

Ah ! Celui qui, de sa superbe, regarde la petite messagère d’un air aussi hautain,
Mais qui vient dire à la messe qu’il faut d’abord avant tout aimer son prochain,
Eh bien…Celui-là est, dans le bel Evangile de Jésus, un triste et fieffé menteur !
Nous, nous laisserons le jugement de votre charité à nos humbles et chers lecteurs !

A mon bon sens d’âne et pour nous, ce sont les évêques qui obéissent au Pape,
Mais je n’ai vu chez vous, à Notre Dame du Laus que de l’amour sous cape
Et j’espère qu’un jour cela changera vite ! Car le corps doit bien obéir à la tête !
Vous n’aviez que votre micro et je n’avais que ma plume…mais celle du poète !

Je vous salue bien franchement.
Christian JOSEPH, le 15 septembre 2010.
Votre pèlerin de la semaine du 12 au 20 septembre au Laus
et protecteur rapproché de la messagère Agnès Mignoni que vous avez rencontrée.

JEUDI 16 septembre à 15h.



Marie Madeleine est messagère au LAUS !



Notre évangile, après l’épitre de Saint Paul, racontant l’épisode de Sainte Madeleine,
Ouvrait nos cœurs enjoués à la réception par le maître de ses hôtes et surtout à la peine
Toute voilée du Seigneur de n’avoir pas été reçu correctement par ce maître de maison !
Remarquant que c’était pour nous la même chose, je fis de suite la bonne comparaison
Et me dit que Sainte Madeleine était comme notre messagère Agnès dans cette maison

Du maître que notre recteur semblait représenter. C’était, ma foi, presque incroyable !
A croire que le Seigneur, comme d’habitude, avait tout prévu dans sa sagesse honorable !
Mais voici qu’il nous dit soudain qu’il fallait mesurer nos paroles, puis accepter l’autre
Et entraîner nos sentiments vers des regards plus bienveillants comme des bons apôtres !

Du coup, j’en vins à me demander s’il parlait pour nous ou bien s’il parlait pour lui !
Une leçon pareille ; il se devait sûrement de l’avoir très bien enregistrée aujourd’hui !

Le fait est là : la providence devait éclairer le maître des lieux par le bon Saint Joseph.
Alors, je m’attendis à un sourire, un regard, un bonjour, à une poignée de main ! Or, bref :
Une fois sorti, vous vous doutez qu’il n’en fût rien ! Je n’obtins même pas un salut de loin !
Seul, son visage si fermé me ramenait à l’Evangile d’aujourd’hui pour lui si lointain !

Ah ! Mais l’étoile de Marie brilla quand même pendant la messe au dessus de nous, ravie.
Même sa couronne resplendissait de sa si merveilleuse, si tendre et si naturelle beauté
Et j’avais toujours le souffle coupé devant l’immense pardon de notre bon Maître
Ne remettant les péchés qu’à Marie Madeleine dans la maison et non pas au propre maître !

Alors, ne trouvant toujours pas le repos en mon âme, je demandais à tous les miens
Malgré tout, de prier pour tous ceux qui parlent si fort et si bien, dans leur micro de loin
Et qui n’appliquent jamais ni ce qu’ils disent, ni ce qu’ils méditent, ni ce qu’ils ont enseigné
N’allant même jamais voir si leurs hôtes, dans leur propre demeure, étaient bien installés !

En écrivant ces mots je vis dans le ciel une pluie de lumière incessante et troublante,
Toute en rayons dispersés du soleil lumineux qui semblait apprécier ma lettre présente.

Alors, dans les nuages au loin se profila une douce colombe paisible et bien formée.

Dieu dessine toujours pour notre plaisir dans le ciel des formes toujours bien colorées
Et j’apprends à connaître doucement ses grands talents d’artiste et de Maître surdoué !
Mais voilà qu’un nouveau Soleil Eucharistique vint arrêter encore ma plume si prolixe
Alors, je décidais de rentrer voir nos très chers cousins et de leur porter ma missive.
Il y avait le chapelet du Divin décret de dix sept heures à surtout ne pas manquer ce soir :
Nul ne doute plus que Marie y viendrait nous y raconter avec amour des belles histoires !

Jean Luc CHRISTIAN
Le 16 septembre 2010-09-16 (Notre dame du LAUS)


Vendredi 17 septembre 2010-09-17



Dans l’église du LAUS…



Nous étions rassemblés ce matin en prière à la messe bénie de onze heures.
On avait l’impression de la naissance d’une très belle famille dans nos cœurs.
Toute la paix du Laus était donnée ici en grâce par la petite Benoîte Rencurel.
Remarquant le tableau à ma droite dans l’église, je voyais comme elle était belle
Et je me rendais compte qu’elle communiait à genoux sous l’ange Saint Michel.

Dommage que les prêtres n’aient pas bien regardé le tableau des trois Archanges
Apportant le divin Pain Eucharistique à notre petite servante comme à un ange !
Même Saint Michel y parait d’une noblesse parfaite. Oh ! Oui, comme c’est étrange…
Et comme il donne élégamment et dignement ici la communion sur la langue.

Demain, j’écrirai à Benoît XVI qu’ici ce n’est pas comme cela que l’on pratique !
Une main de Saint Gabriel tient un cierge sous l’Hostie et Saint Raphaël, héroïque,

Lève avec elle la nappe de communion. Tout est encore impeccablement clair…
Avec Benoîte au service de l’Eglise en exemple parfait et au service de ses frères !
Une fois établi que l’Eglise doit être prophétique avant que Jésus ne revienne,
Si elle ne l’est plus, il faut alors, et c’est très impératif, qu’elle le redevienne.

Ah ! Voici donc que notre Benoîte nous rappelle notre ferveur et notre fidélité…
Mais, avec Sainte Thérèse, nous ferons comme si chaque jour tout est à recommencer…
Et les messages du Ciel, s’ils les ont oubliés, pourtant ici les tableaux le leur rappellent !
Nous n’étions là, sûrement, qu’une semaine pour remettre en mémoire cette peinture si belle !

Jean Luc CHRISTIAN
(N-D du LAUS)



Le 17 septembre à 23h30



ECHANGE DE TIRS à N-D du LAUS



Nous sommes allés cet après-midi voir la célèbre abbaye de Boscodon :
On l’a trouvée très belle ! Surtout de l’extérieur ! Mais, à ma propre opinion,
Trop sobre à l’intérieur ! Je n’y ai même pas vu une seule petite croix !
Remarquez bien que c’est dans l’air du temps de notre France sans foi
Et l’œcuménisme latent perd de sa noblesse s’il n’a pas au sommet cette croix !

Dans la soirée, j’ai été convoqué sans ambages par le grand recteur Ludovic.
Ah ! J’avais l’impression, comme à l’école, que j’allais recevoir quelques piques !
Mais je ne me trompais pas du tout ! Oh ! Peut-être me mettrait-il en retenue
Et, pour lui avoir désobéi, il devait bien avoir pour moi une sanction ardue ?

Dés la poignée de main, je le sentis de marbre et poli comme un glaçon…
Une certitude se fit jour en moi : il avait dû bien écouter mes chansons !

Les questions commencèrent ! Que je n’étais pas du Vatican, il en était persuadé !
A croire qu’il n’avait pas lu le beau Divin Décret que je lui avais recommandé !
Une chose particulièrement l’irritait : je lui avais d’abord et avant tout désobéi !
Sûr ! Je l’avais pourtant bien prévenu qu’à sa demande je n’aurai jamais obéi !

Par contre je lui dis encore qu’il était comme Saint Thomas et qu’il ne croirait
Réellement que s’il voyait une preuve écrite et, par la Papauté, signée en biais !
Oui ! Il l’avoua d’ailleurs lui-même ! Même Jésus à sa porte, il ne me croirait !
Tout en lui laissant le droit de penser que, lourdement, sur mon compte, il se trompait
Et que, sur l’état actuel de son Eglise laminée et dévastée, pour lui, grande honte, j’avais,
Garantissant devant lui que Jésus allait revenir : je ne voulais poliment pas lui déplaire
Et ne lui prouver qu’il devait d’abord obéissance au Pape ! Je n’étais pas ici pour me taire,
Zélé, calme et ferme, solide comme un roc ! Mais il ne comprenait vraiment rien à l’affaire !

Non ! L’habit de noce que je portais et qu’il appelle « costume » comme pour un cirque
On voyait bien qu’il n’y croyait pas ! Ce recteur de Jésus mérite vraiment un déclic !
Une fois ces tirs théologiques échangés, je sentais bien dans son regard très oblique
Se profiler chez lui un sentiment désagréable sur ma petite personne et assez comique !

Ah ! J’avais l’impression, quand il me regardait, d’appartenir à une autre planète !
Mais sûrement, il voyait en moi un agitateur professionnel ou un chanteur pas net
Et j’aurais pu encore essayer de le convaincre que j’étais le plus riche des chanteurs :
Non ! Il ne m’aurait cru qu’en pensant qu’on ne me paye que pour aller chanter ailleurs !

Ah ! Il m’accusa encore de Pharisaïsme avec des très beaux termes de grand docteur :
Lui, c’est en Théologie, moi, c’est en Médecine Dentaire ! Quel échange d’honneurs !
Le fait de lui affirmer que je puisse, en chantant, défendre avec courage les trois blancheurs
Et la pureté du langage en plus de celle de mon habit de lumière : cela lui faisait très peur !
L’entretien sec se termina net quand il me rendit tous mes CD en sa librairie déposés !
Une interdiction de Jean-Luc Christian dans les Sanctuaires ! Quelle bonne publicité !
Il usa de beaux mots et de gestes d’ecclésiastiques et je l’en remerciais à sa manière.
Alors, je repartis avec mes lourds cartons sur mes bras. Là encore, il ne m’aida guère !

Ah, oui ! J’avais eu la même impression que lorsque l’on m’avait viré de mon pensionnat !
Mais c’était il y a bien longtemps ! Ici au Laus, c’est comme à Paray : plus rien ne va !
Et on ne voulait pas de moi ni de ma si gentille et belle Famille d’Amour d’Ave Maria !
Nul doute aucun que ce brillant recteur n’a absolument rien compris au film de la foi !

Alors, il me dit qu’il n’aimait pas du tout mes manières, ni les donneurs de leçons.
Mais, très cher père Ludovic, cela est normal pour un chanteur engagé dans le son
Et il ne peut chanter que ce qu’il pense vraiment ! Pas comme vous ! C’est comme ça !
Notre entrevue se termina sans joie. De la charité chez lui, je n’en vis vraiment pas !

Ah ! Vous nous avez bien reproché de nous mettre à l’église au tout premier rang !
Maintenant, nous sommes au fond ! Bravo ! Vous avez fait reculer les couleurs du Vatican !
Et j’ose vous dire ici, qu’à mes yeux, c’est une bien petite victoire que celle là !
Notre combat n’est pas terminé ! Lisez vite la charte des chevaliers de l’Ave Maria !

Ah ! Mes amis ! On offre du soutien à l’Eglise et elle n’en veut même et surtout pas !
Mais elle continue à boiter et comme elle n’entend, ni ne voit rien, elle en mourra
Et il faudra pour elle quelques apôtres courageux pour la sortir du tombeau d’ici là !
Nul ne doute que dans très peu de temps, Père Ludovic, tous les deux, on se reverra !

Que Jésus soit aimé de tous les cœurs ! Amen !


Jean- Luc Christian.
(N-D du LAUS) Le 18 septembre 01h 22.





DERNIER JOUR AU LAUS !



Ah ! Comme ce pèlerinage fût merveilleux et mouvementé ! Nous étions tous enchantés !
Mais vous dire comment le Ciel nous aime à ce point : c’est impossible en toute vérité !
Et frère Martin fit pour notre départ une belle bénédiction souhaitant nous voir dans l’avenir.
Ne vous retournez pas ! J’ai vu sur le recteur un sourire : il était content de nous voir partir !

J-L CHRISTIAN
20 sept à N-D du LAUS



SCANDALE A LA SALETTE !

19 SEPT 2010





Très Saint Père,

Nous étions très heureux en ce jour de grâce d’aller assister à la grand-messe dominicale.
On avait choisi le Sanctuaire de La Salette qui nous paraissait, de loin, assez amical.
Tous joyeux et avec beaucoup d’amour, nous allions annoncer de Jésus l’imminent retour,
Réservant nos plus beaux sourires à tous, nous avions mis nos habits de lumière ce jour
Et nous montions en voitures, heureux et fiers de nos cinq valeurs avérées pour toujours !

Devant la guérite, gardée comme un camp d’armée, je déposais mes sœurs les plus âgées.
Avec sévérité, je vis s’approcher un cerbère glacé, l’œil mauvais et le regard très acéré,
Montrant à notre égard un dégoût bien marqué, il me dit qu’il ne nous laisserait pas entrer
En uniformes ! Je lui dis que ces « uniformes » étaient les habits de prières de votre Sainteté !

Déclinant mon identité, je lui dis que je venais de la part du bon Vatican de notre Seigneur
Et qu’il fallait qu’il prenne bien conscience qu’il en refoulait ici les essentielles valeurs !

Le brouillard épais et glacé donnait à la situation étrange un cadre spécial et particulier.
Avec cinq degrés au dehors, le vent froid glaçait la peau et on sentait fort l’humidité.

Sur son injonction peu aimable de reculer, je lui dis encore que nous n’allions qu’à la messe !
Alors il me répondit qu’il n’en était pas question dans un langage à aller de suite à confesse !
L’habit de noce visiblement le dérangeait ! Et je vis bien à son allure qu’il nous attendait
Et comme je lui demandais de décliner son identité, je sentis qu’il renâclait ! Il aboyait
Tout en m’évitant soigneusement du regard et me dit être du Sanctuaire le grand directeur.
Toujours est-il qu’il se présenta comme Pascal Lacroix. Je crus qu’il y avait une erreur !
En étudiant son sourire inexistant, j’hésitais entre celui du Bouledogue ou du Rottweiler.

Pourtant, votre Sainteté, je vous assure que nous venions ici le cœur tout rempli d’humilité !
Remarquant notre détermination, il appela en renfort cinq acolytes costauds et entraînés !
Ils placèrent des barrières lourdes et un peu comme à Paray, ils se planquèrent tous derrière
En se plaçant presque comme pour préparer un combat de rue. J’eus un mouvement arrière !
Zélé pour vous, je le suis, mais là je n’osais pas insister devant les six dangereux cerbères !

Pour vous faire une idée, très Saint Père, de leur absence totale de charité et d’humilité,
Oh, je vous joins en annexe un extrait du poignant dialogue relevé et troublant de vérité.
Une preuve que ce monsieur est bien le directeur ? Je ne lui ai trouvé que l’œil d’un financier,
Réservant immédiatement à votre Sainteté mon rapport prioritaire et secret en privé.

Etonnement, je pense qu’il est autant directeur de ce sanctuaire que moi je suis garagiste !
Un esprit aussi malsain, inamical et grossier ne peut pas appartenir à votre Sainte liste !
X fois, je lui ai rappelé qu’il était inconscient ! Mais il avait l’air si méchant et si triste !

Après notre déshabillage forcé, ils ont agressé mon fidèle Norbert à dure épreuve,
Mais ils ne lui ont brisé que ses lunettes (que je garde encore comme élément de preuve),
Et ils ont agressé Yolande pour lui prendre son appareil photo sans douceur,
Nous menaçant de porter plainte si l’on publiait la photo du méchant directeur.

Ah ! Oui ! Qu’il soit Franc-maçon, nous n’en doutons pas ! Mais il doit rester poli !
Mais comment faire quand ce sbire inamical nous empêche d’aller vivre l’Eucharistie ?
Et il fit même retirer à des Sœurs leurs capes pèlerines pourtant bien civiles !
Nul ne doute plus que les consignes de ce clown à lunettes arrivent du pouvoir civil !

Alors, je dois vous dire aussi que nous avons été accueillis très froidement sur le parvis,
Les deux portes sur les trois ayant été fermées, par un filtrage discret de la gendarmerie.
Le cœur triste nous avons suivi la messe en restant debout tout au fond de la grande nef
Et quand je vis du fond l’horrible peinture de Jésus, de suite j’ai prié Saint Joseph !
La représentation n’est pas belle ! Heureusement que la statue de Marie est très jolie !
Une homélie lue sans cœur, nous fit la leçon d’une solidarité supplantant la charité honnie !
Ils firent encore une quête pour pouvoir améliorer l’accueil des joyeux pèlerins…
Alors, je n’ai rien donné ! J’avais l’impression d’être au temps d’Hérode et des siens !

Aussi, le prêtre a souhaité ce jour des engagements de nombreux laïcs consacrés !
Mais je n’ai pas dû bien comprendre car ils les refusent violemment à l’entrée !
Et je sais que c’est le père Bougeard qui a appelé en urgence la maréchaussée,
Notant au passage leurs tristes méthodes dignes de la gestapo la plus endiablée.

Au retour, pour consoler la petite troupe du Seigneur, nous sommes allés à Aspres les Corps
Le châtelain et la châtelaine ont été très gentils et c’est là un vrai miracle encore :
Leurs sourires compréhensifs m’ont bien rassuré ! Ils ont, eux, le sens de l’accueil
Et je propose au directeur de La Salette de les prendre en stage et ceci sans orgueil !
Les pèlerins seraient mieux reçus et en plus, leur cuisine est extrêmement délicate.
Un mot aimable à chacun, le sens de la réception : ils sont vraiment charmants !
Ils ont accueilli notre message sur le retour du Christ et ils l’ont admis et compris.
Ah ! Je vais leur demander de prendre le directeur et les chapelains en stage ici !

Ah ! J’allais oublier : le prêtre qui m’a donné l’hostie brune non recommandée par le Seigneur
L’a fracturée sur mes dents désagréablement répétant ce geste autour de moi. Quel malheur !
La dame en noir après la messe ouvrait le tabernacle pour y prendre quelques hosties
Et les redistribuer sûrement au personnel ! Ca doit être apparemment la coutume par ici !
Les chants tutoient tous sans exception la Vierge, Jésus, Joseph et le Père éternel et l’Esprit.
Une fois l’office terminé, le désagréable garde du corps est venu encore me retrouver.
Il m’a accompagné très méchamment comme un dangereux bandit jusqu’à la sortie !
Avec les quinze prêtres, c’était une célébration qui se déroulait entre très bons amis !

Pour le reste, nous avons apprécié d’être serré au fond de l’église comme des sardines…
Remarquant que le poisson est le signe du Chrétien, c’est comme cela qu’ils les imaginent !
Il faudrait quand même, très Saint père, aller jeter un coup d’œil. Il y a de l’huile sur le feu.
Et il faudrait au passage profiter de recréer l’Ordre demandé depuis par la Mère de Dieu !
Zélés, Maximin et Mélanie l’étaient pour communiquer leurs doux secrets des cieux !

Pour la charité, je n’en ai pas trouvé ! Ni amour, ni tendresse, ni joie, ni humilité…
On n’a pas eu le cœur de vouloir rester manger tant cet épisode nous avait contrarié !
Une fois parti, j’ai vu encore le directeur téléphoner à ses acolytes de tous côtés :
Remarquez qu’il devait être content que nous n’avions, avant de partir, rien fait sauté !

Nous étions comme Maximin et Mélanie, pèlerins repoussés, refoulés, rejetés et brutalisés.
On ne venait que pour prier dignement à vos intentions et pour honorer ici votre Sainteté
Un tel accueil ne peut pas venir de Dieu ! Vous pouvez imaginer donc notre désarroi !
S’ils nous menacent, nous découragent et nous font taire, que dire de cet accueil si froid !

Que le Seigneur arrive très vite c’est quand même une très bonne nouvelle à annoncer !
Une nouvelle de joie, de gaieté que nous venions ici avec tant d’amour leur apporter
Et ils ne veulent pas nous entendre en souhaitant bien sûr nous faire en cellule enfermer !

Le fait est qu’ils ne pourront pas arrêter d’eux même ici, la Gloire de Dieu notre Père
Et ce directeur à la noix qui se flatte ouvertement de son comportement terroriste et sévère

Sera heureux d’apprendre à sa kommandantur qu’il nous a si bien molestés et refoulés !
Et il croira avoir bataille gagnée ! Mais il ne connaît même pas l’histoire de la Vendée !
Il devrait aller plus souvent se renseigner dans vos beaux bureaux de Rome au Vatican
Gentiment, j’ai eu beau m’adresser à lui, je n’ai trouvé chez lui aucun bon sentiment.
Nous annonçons aux pauvres et aux petits le retour très proche de Jésus notre Seigneur
Et nous choisissons la non-violence, l’amour, la prière et les gestes simples du cœur.
Un âne bâté comme moi ne comprend décidément rien à toutes ces histoires de Chrétiens
Refoulant d’autres Chrétiens si méchamment ! C’est comme cela et je n’y peux rien !

Ah ! Très Saint Père, il fallait bien que vous sachiez tout cela dans le strict détail.
Remarquez que je fais ici un récit édulcoré de la triste réalité des évènements au portail,
Réservant mon petit dialogue annexe criant de vérité à votre très grande Sainteté.
Il faudra bien qu’ils se calment ces gens là ! Ils ne vous appartiennent qu’à moitié !
Vous saurez les faire taire ou les virer rapidement ! Oui ! J’en suis plus que certain !
Et je vous redemande, s’il le fallait encore dans cette tragique urgence, votre soutien !

Ah ! Votre Eglise devient rebelle au peuple et préfère conserver ses prérogatives,
Mais agissez donc vite si c’est dans votre pouvoir malheureusement à la dérive !
Et n’hésitez pas à chasser les Francs-maçons à moins qu’ils ne se convertissent !
Nous avons prié Saint Michel qu’il se charge de donner de la voix et qu’il agisse.

Alors que même l’institut du Christ Roi de Grenoble et de droit pontifical reconnu
Mène un combat pour pouvoir célébrer la Sainte Messe traditionnelle : toujours déçu
Et refoulé par le recteur de La Salette, on leur interdit l’accès du Saint Sanctuaire !
Nous ne faisons que constater l’état de grande haine contre vous, très Saint Père !

Ah ! Etant ce bourricot que le recteur de Paray le Monial a pris pour un vilain agitateur,
Mais aussi cet âne qui fût pris par le recteur de Notre Dame du Laus pour un usurpateur,
Evidemment à La Salette où ils ne respectent absolument aucune des cinq blancheurs,
Nul doute que le père Bougeard va me prendre pour un grand terroriste manipulateur !

Ah ! Ils insultent notre belle Mère éternelle et en plus en ce beau jour anniversaire !
Mais ils ne vous respectent plus ! Ils communient dans la main et ils chantent des airs
En maniant le tutoiement aux personnes célestes et refusent chez eux nos habits de lumière
Non ! Cela ne peut durer ainsi ! Très Saint Père, alors faut-il donc toujours les laisser faire ?

Recevez, très Saint Père, avec ce récit de nos misères, et dans l’impatiente attente de votre réponse, nos hommages sincères
et la garantie de tout notre soutien.

Christian JOSEPH, votre dévoué serviteur et protecteur rapproché de la petite messagère Agnès MIGNONI.


Annexe relatant les épisodes douloureux de LA SALETTE le 19 septembre 2010
Sous forme de dialogue :

Christian (amenant les pèlerins à l’entrée) :
«Pourquoi nous interdisez-vous l’entrée ?
Nous ne venons que pour la messe ! Vous ne pouvez pas nous interdire ! »

Pascal Lacroix : « Vous ne rentrerez pas ici en uniformes ! »

Christian :
« Vous avez conscience que vous refoulez ici les couleurs du Vatican et ses valeurs ? »
P.L. : « Je n’ai rien à faire du Vatican ! Vous devez enlever vos uniformes ! »

Christian : « Ce ne sont pas des uniformes mais des habits de prière ! »
P.L. : « Vous devrez enlever vos costumes ! »

Christian : « Vous êtes chrétiens et vous refusez d’autres Chrétiens ! C’est incroyable ! Eh bien, nous les enlèverons mais
j’en réfèrerai au Pape Benoît XVI ! »

Un garde : « Vous savez avec des mots on peut tout dire ! »

Christian : « Oui, et avec des actes comme les vôtres, on peut aussi tout faire ! »
P.L. : « Ici, c’est moi le directeur ! Vous ne passerez pas ! Allez-vous déshabiller ! »

Christian : « D’accord, mais je vous préviens, on va entendre parler de vous ! »
P.L. : « Je n’en ai rien à faire ! »

Dominique : « Mais j’ai fait plus de douze heures de voiture pour venir et vous m’empêchez de passer ! »
P.L. : « Oui, c’est comme ça ! »

Sœur Marie- Louise (83 ans religieuse de la Divine Providence ) :
« Mais ça n’est pas possible, voyons, il fait si froid, laissez moi avec ma cape au moins ! »
P.L. : « Non, enlevez la ! Ne discutez pas ! Ou vous n’entrez pas du tout ! »

Sœur Marie Thérèse (Après s’être fait fouiller et confisqué son sac à main):
« Nous sommes des sœurs de la Providence ! Vous ne pouvez pas nous enlever nos habits ! »
P.L. : « Je n’en ai rien à faire ! Retirez vos habits religieux et vos manteaux aussi »
( Et dans le froid, les deux religieuses ont du se dévêtir de leur manteau ).

Agnès : « Mais elles sont religieuses ! Mais enfin, s’il vous plaît, ne faîtes pas ça !
Vous êtes Franc-maçon ou quoi ? Vous nous refusez parce que vous êtes Franc maçon, c’est ça ! »

P.L. : « Non vous n’êtes pas des religieuses ! Je vous emmerde ! Fermez-là ! Foutez-moi le camp ! »
Alors Agnès, après avoir enlevé ses habits doit laisser son sac et ses affaires dans la guérite d’entrée ! Et même
accompagnée par eux dans l’Eglise leur dit en chemin :

« Vous n’êtes pas de Dieu car vous n’avez aucune charité,
Celui qui dit j’aime Dieu sans aimer son prochain est un menteur ! »

Yolande : « Vous m’avez molestée en voulant me prendre mon appareil photo ! Vous n’avez pas le droit ! »
Un pèlerin : « Mais monsieur, ils n’ont pas de bombe sur eux quand même, cela se verrait ! »
P.L. : « Dégagez d’ici ! Fermez les barrières ! »

Norbert (bousculé par les gardes qui lui fracturent ses lunettes !) :
« Vous n’avez pas la moindre charité ! »
P.L. : « Vous ne passerez pas ! J’appelle la gendarmerie ! Et enlevez vos capes ! »

Jean-Louis :
« Mais nous sommes paisibles et des pèlerins normaux et vous nous empêchez de filmer ! »
P.L : « Vous ne passerez pas avec votre caméra ! Allez la mettre dans la voiture ! »

Arlette (dont on avait arraché le manteau) :
« Mais il fait très froid ! Vous ne pouvez pas nous empêcher de porter nos capes civiles quand même ! »
P.L. : « Je n’en ai rien à foutre ! Vous ne passerez pas avec vos capes ! »

Christian : « Monsieur Lacroix en agissant ainsi, vous insultez le Vatican ouvertement ! »
P.L. : « Je n’ai rien à foutre du Vatican et je vous préviens, vous n’avez pas intérêt à diffuser ma photo sur votre site car
je porterai plainte contre vous ! »

Christian : « Mais, c’est moi qui porterai plainte contre vous pour votre comportement hallucinant !
Mais de qui tenez-vous vos consignes ? »
P.L. : pas de réponse…

Christian : « Je sais très bien que vous nous connaissez et que vous savez parfaitement qui nous sommes ! »
P.L. : « Effectivement ! C’est pour cela que vous ne passerez pas avec vos habits ! »

Christian : « Mais mes sœurs sont en petite chemise dans le brouillard et il fait 5 degrés ! »
P.L. : « Je n’en ai rien à foutre ! C’est comme ca ! Vous ne passerez pas autrement ! »

Christian : « Mais quelle horreur ! Vous êtes pire que le démon ! »
P.L. : « C’est ca ! » Et il se remit à téléphoner avec son téléphone portable !

Et c’est nous qu’il prend pour des terroristes ! Alors qu’il a gardé les affaires et les sacs dans sa guérite !
Il a souhaité nous escorter avec ses sbires en moufles et bien couverts car il faisait très froid, jusqu’à l’église !
Sans commentaire !

Ah très saint Père, j’implore miséricorde pour obtenir de vous, votre bénédiction Papale, en faveur de notre petite famille d’amour et de prière qui se réclame de vous, Et qui se fait tant insulter et ceci régulièrement lorsqu' elle ose affirmer son appartenance à l’Eglise Catholique car les ecclésiastiques de France refusent de croire en l’existence toujours réelle de la petite Eglise Royale de Vendée, qui nous parraine auprès de vous au Vatican.
Toute notre petite famille spirituelle d’Ave Maria de l’Enfant-Jésus vous supplie humblement,Très Saint Père, pour que nous soyons autorisés à porter notre habit de prière en France et dans le monde entier durant nos pèlerinages et à appliquer le Divin Décret d’Amour du Sacré-Cœur de Jésus qui avait reçu l’Imprimatur de Mrg. Constantin Guirma. Ah Très Saint Père nous implorons votre secours !
Il y a urgence pour changer les dirigeants du sanctuaire de Notre Dame de la Salette,

Pour que l’Institut du Christ-Roi puisse venir y célébrer la Sainte Messe traditionnelle,
Et organiser des processions avec des bannières, car actuellement c’est encore impossible.
Que Notre Seigneur Jésus nous pardonne tous de ne pas assez l’aimer,
Et surtout de ne pas assez aimer notre prochain par amour pour Lui !
Que Jésus soit aimé de tous les cœurs ! Amen !
PHOTOS DU PELERINAGE SUR L'ALBUM : http://avemariacorse.spaces.live.com

SOUVENIR DE NOTRE PELERINAGE A PARAY-LE-MONIAL EN AOUT 2010
 

 

SOUVENIR DE NOTRE PELERINAGE A NOTRE DAME DU LAUS EN SEPTEMBRE 2010

 

Photo de Mr. Pascal Lacroix directeur financier de la Salette nous empêchant avec ses gardes et des gendarmes d'aller en habit de prière à la sainte Messe du 19 Sept. 2010 pour l'anniversaire de Notre Dame de la Salette. (Voir l'album photo du site)
 

Christian et Christine JOSEPH en pèlerinage à N.Dame du Laus et la Salette : 2010.



BIENVENUE SUR LE SITE : http://avemariacorse.spaces.live.com/ ***
http://divin-decret-damour-de-jesus.org/  et http://www.bravomarie.fr  Voir Nouvel Album Photo du Laus ! SURTOUT POUR LA SUITE DES INFOS DU SITE : CLIQUER SUR LA FLECHE POUR DESCENDRE ! Lecture de haut en bas ! ET PUIS CLIQUER TOUT EN BAS SUR : AFFICHER PLUS DE BILLETS
POUR TOUT DECOUVRIR :
L'ALBUM PHOTOS DEFILE DANS L' ESPACE PERSO D'AGNES UN PEU PLUS BAS :
Pèlerinage Notre Dame du Laus 2010 (Du 13 au 20 Sept.)
Vidéo: Entretien avec la Messagère 


Lettre solennelle pour le Pape Benoit XVI
Paray le Monial août 2010
Témoignage sur la petite Eglise 
Témoignage de Soeur Denise du Canada
Photos miraculeuses
Jésus prépare son glorieux retour