PELERINAGE A ROME MARS 2009

 

 
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Objet : PELERINAGE DE ROME POUR VOUS TOUS PELERINAGE DU 28 AU 31 MARS 2009! www.avemaria-corse.org
TEMOIGNAGE DE ROME A VOUS TOUS : PELERINAGE DU 28 AU 31 MARS 2009 :

www.avemaria-corse.org :

DEMANDE DE RECONNAISSANCE OFFICIELLE PAR ACTE DE SOUMISSION PERPETUELLE D'OBEISSANCE A JESUS ET A SON EGLISE CATHOLIQUE : Faîtes passer la nouvelle !

COMMENTAIRE DU PELERINAGE :

VOICI LA LETTRE BIEN REMISE AU CARDINAL RODEZ,

AU VATICAN, LE 30 MARS 2009, PAR LA PETITE EQUIPE DES 5 ENVOYES EN HABIT DE PRIERE D'AVE MARIA DE L'ENFANT-JESUS, ET PLUS SPECIALEMENT CHRISTIAN QUI LUI REMETTAIT  CELA EN MAIN PROPRE AVEC LA BOITE ROUGE DE SES CD, AYANT RECU DEJA AUPARAVANT, LA PERMISSION POUR PORTER L'HABIT DE PRIERE PAR LE PERE STEPHANO ( membre des prêtres responsable de la vie consacrée du Vatican ) QUI EN NOUS RECEVANT LE 9 MARS A ROME, AVAIT CONCLU DE VIVE VOIX, EN RECEVANT LE LIVRE DU DIVIN DECRET D'AMOUR EN PLUS AVEC L'EXPLICATION DE SON CONTENU PAR LA MESSAGERE, CECI : « BON APOSTOLAT ! »,

SUIVI D'UNE BENEDICTION DE SA PART POUR RECEVOIR LA BENEDICTION PAPALE PLACE SAINT PIERRE AUSSITÔT CE DIMANCHE 9 MARS 2009 EN LA FÊTE DE LA TRANSFIGURATION !

SACHEZ BIEN D'AILLEURS QU'EN TOUTES NOS DEMARCHES NOUS NOUS SOUMETTONS TOUT A L'EGLISE PAR LE VATICAN, SELON L'AVIS DU MAGISTERE DE L'EGLISE, EN SERVITEURS FIDELES, DEVOUES, AIMES ET LOYAUX DE NOTRE PAPE BENOIT XVI QUE NOUS AIMONS BEAUCOUP, EN PRIANT SANS CESSE POUR LE SOUTENIR DANS SA MISSION DE PAPE JUSQU'AU BOUT !  

NOUS SOMMES DONC ARRIVES AU 30 MARS 2009 A ROME AVEC CETTE LETTRE EN HABIT DE PRIERE AVEC TRES BON ACCUEIL,

SOUS LA PROTECTION DU CIEL, AYANT EU LE BONHEUR,

EN VOTRE NOM A TOUS, D'EMBRASSER LA VEILLE, LES RELIQUES DE SAINTE FAUSTINE EN L'EGLISE DU SAINT-ESPRIT DE ROME LE 30 MARS 2009, ET DE PARTICIPER A LA MESSE EN LA BASILIQUE SAINT PIERRE EN HABIT DE PRIERE EGALEMENT,

TOUT EN ETANTLOGES ET ACCUEILLIS AVEC BONTE PAR LES RELIGIEUSES DE SAINT VINCENT PALLOTINI DE ROME,

VOICI DONC UN EXTRAIT IMPORTANT DE LA LETTRE :

ASSOCIATION AVE MARIA CORSE de l’Enfant Jésus.
Lotissement de Campore

2O215 VESCOVATO

Cardinal Rodez, Rome le 30/03/09.

Vatican. ROME
Votre Eminence,

Nous avons l’honneur de venir vous demander, pour notre famille de prière, une reconnaissance officielle par l’Eglise Catholique Romaine et un statut canonique.

Nous faisons cette démarche au nom de la Vierge Marie qui visite régulièrement Agnès, notre petite messagère, et au nom de Jésus qui lui a confié et dicté le Divin Décret d’Amour en souhaitant y mettre sous votre protection l’Ordre Divin de la Croix Glorieuse Catholique du Sacré-Cœur de Jésus sous le patronage spirituel de la Sainte Famille de Nazareth, et plus particulièrement aussi de Soeur Olive-Marie du Christ-Roi de Danzé et du petit Gilles Bouhours, petit apôtre de 6 ans auprès du Pape Pie XII chargé en 1950 de confirmer au nom de Notre Dame le Dogme de l'Assomption.

Nous faisons ceci, pour hâter tous ensemble le règne du Christ-Roi, Prince de la paix et Maître des Nations, en souhaitant bénéficier de votre approbation permanente de la part de l’Eglise et avoir votre accord écrit et confirmé concernant le fait de porter l’habit de prière et le scapulaire de notre petite famille de prière qui désire servir Jésus en son Eglise......Nous vous remercions humblement de bien avoir voulu nous accorder cette entrevue et, dans l’attente, vous prions de croire en l’expression de nos sentiments les plus respectueux et dévoués.

Pour Agnès Mignoni, Présidente de l’Association, Christian Joseph, 13 rue des Corderies. DUNKERQUE. 59240.

TEMOIGNAGE DE CHRISTIAN :

 

ASSOCIATION AVE MARIA CORSE de l’Enfant Jésus
Campore. 2O215 VESCOVATO

Cher amis,

C’est avec plaisir que nous avons rencontré le Cardinal RODEZ à Rome, pour l’entretenir de notre projet relatif à la création de l’Ordre de la Croix glorieuse Catholique du Sacré cœur de Jésus ! Il nous a fait bon accueil et nous a demandé d’en soumettre l’ensemble à un évêque français..................................................Nous confions à vos prières cette demande pour que s’accélère rapidement notre construction sous l’œil de Marie et je remercie tous ceux qui ont prié et souffert pour le bon déroulement de notre périple. Notre mission a été accomplie sous le regard de la Sainte Trinité et je remercie encore aussi les trois Archanges pour leur protection rapprochée.

 Mais Les difficultés d’aujourd’hui sont désormais financières car la démission d’Agnès à son travail d'aide-soignante ne lui permet plus d’assurer pour l’association le fond de roulement nécessaire ! ( Notre petite messagère se donnant sans compter pour l'oeuvre du Sacré-Coeur de Jésus par sa vie d'offrande, de générosité incalculable et d'écoute disponible à tous ...) 

Que ceux qui se sentent lui devoir quelques bienfaits en grâces, en habits, en connaissance du monde du ciel, en courriers et mails, en réception de colis et cadeaux célestes divers, en livrets et journaux, en CD, DVD, Chants variés, séjours, etc…puissent enfin se sentir concernés.

Que ceux qui veulent nous soutenir et devenir membres responsables ou bienfaiteurs, n’hésitent plus et s’engagent…

Que ceux qui regardent de loin se regardent eux-mêmes…

Que ceux qui consomment toujours tout de loin et restent souvent incognito quand la corbeille passe ouvrent enfin généreusement leurs portefeuilles car les cloches de Pâques vont résonner à leurs oreilles sérieusement…

Que ceux qui voudraient bien nous aider mais n’osent pas, se disent que désormais, il est plus que temps et qu’il y a urgence à le faire !

 TEMOIGNAGE D'HENRI :

Voici encore, mes amis, le sentiment d’Henri que je partage tout à fait :

« Merci de prier en union avec Benoit XVI, notre messagère Agnès Maria et ses chevaliers de l'Ordre Divin de la Croix Glorieuse afin que les démarches faites au Vatican qui viennent de se vivre avec Mgr Rodez aboutissent à la solution du ciel.

Pour cela il nous faut l'aval d'un évêque français. Merci de prier en action de grâce, afin que notre famille de l'Ave Maria soit officiellement reconnue et puisse obtenir tout ce que le Seigneur nous a promis. Ainsi et seulement ainsi, notre famille deviendra efficace dans sa prière, son adoration et sa réparation permanente.

Pour obtenir ce que la seigneur nous a promis nous avons besoin de la force de prière rassemblée de tous ceux qui croient en la parole du Sacré Cœur, sont fidèles aux 3 Blancheurs, prient avec force et conviction le Très Saint Rosaire, se confessent chaque mois et reçoivent Jésus Eucharistie avec le plus grand respect à genoux et dans la bouche, le plus souvent possible comme demandé dans le Divin Décret D'Amour et depuis plus de 400 ans par le Sacré Cœur, Sa très Sainte Mère et tous les Saints du ciel et de la terre qui savent que cela permet à Jésus de revenir dans Sa Gloire et de soulager Sa souffrance, sauver toutes les âmes et permettre à l'Eglise de France de reprendre la place que le Sacré Cœur lui a donnée. »

 

Enfin, je vous dis merci au nom de la petite Agnès car sans elle, vous ne sauriez rien de tout cela ! Je vous attends.

Votre bien dévoué,

Christian.

Très chers frères et soeur en Jesus Christ, lisez ou relisez ce que nous dit Benoit XVI.

Vous verrez alors toute la vérité du Divin Décret D'Amour
du Sacré-Coeur de Jésus.

Lettre du pape Benoît XVI aux évêques

Chers frères dans l’Épiscopat,

C’est avec beaucoup de confiance et d’espérance que je remets entre vos mains de Pasteurs le texte d’une nouvelle Lettre Apostolique « Motu Proprio data », sur l’usage de la liturgie romaine antérieure à la réforme de 1970. Ce document est le fruit de longues réflexions, de multiples consultations, et de la prière.

Des nouvelles et des jugements formulés sans information suffisante, ont suscité beaucoup de confusion. On trouve des réactions très diverses les unes des autres, qui vont de l’acceptation joyeuse à une dure opposition, à propos d’un projet dont le contenu n’était, en réalité, pas connu.

Deux craintes s’opposaient plus directement à ce document, et je voudrais les examiner d’un peu plus près dans cette lettre.

En premier lieu, il y a la crainte d’amenuiser ainsi l’Autorité du Concile Vatican II, et de voir mettre en doute une de ses décisions essentielles – la réforme liturgique.

Cette crainte n’est pas fondée. A ce propos, il faut dire avant tout que le Missel, publié par Paul VI et réédité ensuite à deux reprises par Jean-Paul II, est et demeure évidemment la
Forme normale – la Forma ordinaria – de la liturgie Eucharistique. La dernière version du Missale Romanum antérieure au Concile, qui a été publiée sous l’autorité du Pape Jean XXIII en 1962 et qui a été utilisée durant le Concile, pourra en revanche être utilisée comme Forma extraordinaria de la Célébration liturgique. Il n’est pas convenable de parler de ces deux versions du Missel Romain comme s’il s’agissait de « deux Rites ». Il s’agit plutôt d’un double usage de l’unique et même Rite.

Quant à l’usage du Missel de 1962, comme Forma extraordinaria de la Liturgie de la Messe, je voudrais attirer l’attention sur le fait que ce Missel n’a jamais été juridiquement abrogé, et que par conséquent, en principe, il est toujours resté autorisé. Lors de l’introduction du nouveau Missel, il n’a pas semblé nécessaire de publier des normes propres concernant la possibilité d’utiliser le Missel antérieur. On a probablement supposé que cela ne concernerait que quelques cas particuliers, que l’on résoudrait localement, au cas par cas. Mais, par la suite, il s’est vite avéré que beaucoup de personnes restaient fortement attachées à cet usage du Rite romain, qui leur était devenu familier depuis l’enfance. Ceci s’est produit avant tout dans les pays où le mouvement liturgique avait donné à de nombreuses de personnes une remarquable formation liturgique, ainsi qu’une familiarité profonde et intime avec la Forme antérieure de la Célébration liturgique. Nous savons tous qu’au sein du mouvement conduit par l’Archevêque Mgr Lefebvre, la fidélité au Missel ancien est devenue un signe distinctif extérieur ; mais les raisons de la fracture qui naissait sur ce point étaient à rechercher plus en profondeur. Beaucoup de personnes qui acceptaient clairement le caractère contraignant du Concile Vatican II, et qui étaient fidèles au Pape et aux Évêques, désiraient cependant retrouver également la forme de la sainte Liturgie qui leur était chère ; cela s’est produit avant tout parce qu’en de nombreux endroits on ne célébrait pas fidèlement selon les prescriptions du nouveau Missel ; au contraire, celui-ci finissait par être interprété comme une autorisation, voire même une obligation de créativité ; cette créativité a souvent porté à des déformations de la Liturgie à la limite du supportable. Je parle d’expérience, parce que j’ai vécu moi aussi cette période, avec toutes ses attentes et ses confusions. Et j’ai constaté combien les déformations arbitraires de la Liturgie ont profondément blessé des personnes qui étaient totalement enracinées dans la foi de l’Église.

C’est pour ce motif que le Pape Jean-Paul II s’est vu dans l’obligation de donner, avec le Motu Proprio « Ecclesia Dei » du 2 juillet 1988, un cadre normatif pour l’usage du Missel de 1962; ce cadre ne contenait cependant pas de prescriptions détaillées, mais faisait appel de manière plus générale à
la générosité des Évêques envers les « justes aspirations » des fidèles qui réclamaient cet usage du Rite romain. A cette époque, le Pape voulait ainsi aider surtout la Fraternité Saint Pie X à retrouver la pleine unité avec le successeur de Pierre, en cherchant à guérir une blessure perçue de façon toujours plus douloureuse. Cette réconciliation n’a malheureusement pas encore réussi; cependant, une série de communautés a profité avec gratitude des possibilités offertes par ce Motu Proprio. Par contre, en dehors de ces groupes, pour lesquels manquaient des normes juridiques précises, la question de l’usage du Missel de 1962 est restée difficile, avant tout parce que les Évêques craignaient, dans ces situations, que l’on mette en doute l’autorité du Concile. Aussitôt après le Concile Vatican II, on pouvait supposer que la demande de l’usage du Missel de 1962 aurait été limitée à la génération plus âgée, celle qui avait grandi avec lui, mais entre-temps il est apparu clairement que des personnes jeunes découvraient également cette forme liturgique, se sentaient attirées par elle et y trouvaient une forme de rencontre avec le mystère de la Très Sainte Eucharistie qui leur convenait particulièrement. C’est ainsi qu’est né le besoin d’un règlement juridique plus clair, que l’on ne pouvait pas prévoir à l’époque du Motu Proprio de 1988; ces Normes entendent également délivrer les Évêques de la nécessité de réévaluer sans cesse la façon de répondre aux diverses situations.

En second lieu, au cours des discussions sur ce Motu Proprio attendu, a été exprimée la crainte qu’une plus large possibilité d’utiliser le Missel de 1962 puisse porter à des désordres, voire à des fractures dans les communautés paroissiales. Cette crainte ne me paraît pas non plus réellement fondée. L’usage de l’ancien Missel présuppose un minimum de formation liturgique et un accès à la langue latine; ni l’un ni l’autre ne sont tellement fréquents. De ces éléments préalables concrets découle clairement le fait que le nouveau Missel restera certainement la Forme ordinaire du Rite Romain, non seulement en raison des normes juridiques, mais aussi à cause de la situation réelle dans lesquelles se trouvent les communautés de fidèles.

Il est vrai que les exagérations ne manquent pas, ni parfois des aspects sociaux indûment liés à l’attitude de certains fidèles liés à l’ancienne tradition liturgique latine. Votre charité et votre prudence pastorale serviront de stimulant et de guide pour perfectionner les choses. D’ailleurs, les deux Formes d’usage du Rite Romain peuvent s’enrichir réciproquement: dans l’ancien Missel pourront être et devront être insérés les nouveaux saints, et quelques-unes des nouvelles préfaces. La Commission « Ecclesia Dei », en lien avec les diverses entités dédiées à l’usus antiquior, étudiera quelles sont les possibilités pratiques.
Dans la célébration de la Messe selon le Missel de Paul VI, pourra être manifestée de façon plus forte que cela ne l’a été souvent fait jusqu’à présent, cette sacralité qui attire de nombreuses personnes vers le rite ancien. La meilleure garantie pour que le Missel de Paul VI puisse unir les communautés paroissiales et être aimé de leur part est de célébrer avec beaucoup de révérence et en conformité avec les prescriptions; c’est ce qui rend visible la richesse spirituelle et la profondeur théologique de ce Missel.

J’en arrive ainsi à la raison positive qui est le motif qui me fait actualiser par ce Motu Proprio celui de 1988.
Il s’agit de parvenir à une réconciliation interne au sein de l’Église. En regardant le passé, les divisions qui ont lacéré le corps du Christ au cours des siècles, on a continuellement l’impression qu’aux moments critiques où la division commençait à naître, les responsables de l’Église n’ont pas fait suffisamment pour conserver ou conquérir la réconciliation et l’unité ; on a l’impression que les omissions dans l’Église ont eu leur part de culpabilité dans le fait que ces divisions aient réussi à se consolider. Ce regard vers le passé nous impose aujourd’hui une obligation : faire tous les efforts afin que tous ceux qui désirent réellement l’unité aient la possibilité de rester dans cette unité ou de la retrouver à nouveau. Il me vient à l’esprit une phrase de la seconde épître aux Corinthiens, où Saint Paul écrit: « Nous vous avons parlé en toute liberté, Corinthiens; notre cœur s'est grand ouvert. Vous n'êtes pas à l'étroit chez nous; c'est dans vos cœurs que vous êtes à l'étroit. Payez-nous donc de retour ; … ouvrez tout grand votre cœur, vous aussi ! » (2Co 6,11-13). Paul le dit évidemment dans un autre contexte, mais son invitation peut et doit aussi nous toucher, précisément sur ce thème. Ouvrons généreusement notre cœur et laissons entrer tout ce à quoi la foi elle-même fait place.

Il n’y a aucune contradiction entre l’une et l’autre édition du Missale Romanum. L’histoire de la liturgie est faite de croissance et de progrès, jamais de rupture. Ce qui était sacré pour les générations précédentes reste grand et sacré pour nous, et ne peut à l’improviste se retrouver totalement interdit, voire considéré comme néfaste. Il est bon pour nous tous, de conserver les richesses qui ont grandi dans la foi et dans la prière de l’Église, et de leur donner leur juste place. Évidemment, pour vivre la pleine communion, les prêtres des communautés qui adhèrent à l’usage ancien ne peuvent pas non plus, par principe, exclure la célébration selon les nouveaux livres. L’exclusion totale du nouveau rite ne serait pas cohérente avec la reconnaissance de sa valeur et de sa sainteté.

Pour conclure, chers Confrères, il me tient à cœur de souligner que ces nouvelles normes ne diminuent aucunement votre autorité et votre responsabilité, ni sur la liturgie, ni sur la pastorale de vos fidèles. Chaque Évêque est en effet le « modérateur » de la liturgie dans son propre diocèse
(cf. Sacrosanctum Concilium, n. 22 : « Sacrae liturgiae moderatio ab Ecclesiae auctoritate unice pendet : quae quidem est apud Apostolicam Sedem et, ad normam iuris, apud Episcopum »).

Rien n’est donc retiré à l’autorité de l’Évêque dont le rôle demeurera de toute façon celui de veiller à ce que tout se passe dans la paix et la sérénité. Si quelque problème devait surgir et que le curé ne puisse pas le résoudre, l’Ordinaire local pourra toujours intervenir, en pleine harmonie cependant avec ce qu’établissent les nouvelles normes du Motu Proprio.

Je vous invite en outre, chers Confrères, à bien vouloir écrire au Saint-Siège un compte-rendu de vos expériences, trois ans après l’entrée en vigueur de ce Motu Proprio. Si de sérieuses difficultés étaient vraiment apparues, on pourrait alors chercher des voies pour y porter remède.

Chers Frères, c’est en esprit de reconnaissance et de confiance que je confie à votre cœur de Pasteurs ces pages et les normes du Motu Proprio. Souvenons-nous toujours des paroles de l’Apôtre Paul, adressées aux prêtres d’Éphèse : « Soyez attentifs à vous-mêmes, et à tout le troupeau dont l'Esprit-Saint vous a établis gardiens, pour paître l'Église de Dieu, qu'il s'est acquise par le sang de son propre Fils »
(Ac 20,28).

Je confie à la puissante intercession de Marie, Mère de l’Eglise, ces nouvelles normes, et j’accorde de tout mon cœur ma Bénédiction Apostolique à vous, chers Confrères, aux curés de vos diocèses, et à tous les prêtres vos collaborateurs ainsi qu’à tous vos fidèles.

Fait auprès de Saint-Pierre, le 7 juillet 2007

Publication du "Motu Proprio"

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