LETTRE DU CIEL JANVIER 2010

Rappel du Message du samedi 28 janvier 2006.

Dans la nuit du samedi au dimanche 29 janvier 2006, en Corse, à la maison, voici que Notre Dame est venue me visiter en compagnie de Mélanie de la Salette. Elle était revêtue de son habit de moniale toute lumineuse portant sur Son voile, une couronne de roses et il neigeait autour d’Elle, Elle portait la CROIX GLORIEUSE, et à sa droite se tenait une petite demoiselle avec un bonnet blanc, un tablier bleu foncé, avec des sabots aux pieds et dans ses mains jointes la Croix Rouge de Jésus de la Salette ainsi qu’un drapeau montrant le Cœur de Jésus dessiné avec l’inscription sur le drapeau qui disait :

« Sacré Cœur de Jésus sauvez l’Eglise de France et le monde entier. † »

Derrière cette petite demoiselle se trouvait un peu caché par elle, un garçon pas plus grand qu’elle, portant un chapeau brun, une veste marron foncé, avec un bâton à la main, il était un peu en retrait derrière elle, je ne faisais que deviner sa présence, comparé à Mélanie, car d’ailleurs, Notre Dame me dit en la voyant avec tous les deux cette présentation là :

« Voici que Je suis Notre dame de la Salette qui revient sous vos yeux, petite messagère, de Mon Cœur Immaculé, pour vous présenter ma petite Mélanie qui doit vous parler du Ciel, en Mon Nom et pour toute Ma petite congrégation d’Ave Maria Corse, seulement.
Car à cause du dehors qui ne croient pas que Dieu parle ici par Mon intervention du Ciel de sainte Vierge Marie du Paradis, auprès de Ma petite en Corse, il n’est pas permis par le Père Eternel de recevoir de telles confidences éternelles et tout leur est dit autrement par les évènements de leur vie.
Mais Mon message immaculé du 5  du mois qui vient, vous le ferez passer à tous vos amis, vos prêtres de paroisse et évêque du lieu, Mes anges, car Je Me réjouis de pouvoir compter sur vous pour annoncer Ma Parole du Ciel qui éloigne satan du milieu de vous.
Plus Mon message du Ciel sera lu et entendu et plus les forces du mal devront reculer.

Mon langage du Ciel est Puissance de Bonté et de Paix, Je viens toujours pour vous unir à la Joie du Paradis et à l’Amour de Dieu, car vous manquez tous de Charité.
Alors par Ma fragile petite messagère, qui vit dans un total abandon à la Volonté de Dieu et par son silencieux martyr quotidien peut sauver des âmes grâce à Mon Humble Fils Jésus en Croix, oui, voici que Je vous élève tous vers la Source d’Amour Pure du Cœur de Dieu qui vous aime chacun comme Son cher unique enfant préféré.
Rien qu’en lisant Mon message du Ciel, Dieu vous montre Son Amour.
Je viens du Ciel accompagnée cette fois de Mélanie et Maximin, Mes petits témoins de la Salette.
Entendez, petites âmes de Ma congrégation nouvelle, ce que Ma petite Mélanie vient vous dire aujourd’hui avec tant de tendresse.
† »

Abaissant ses yeux vers Mélanie, Notre Dame me fait signe de l’écouter :

« Au Nom de Notre Dame de la Salette, je suis Mélanie et Dieu m’accorde de venir vous parler.
N’ayez aucun doute que c’est bien moi, la petite messagère de la Salette qui vous visite ici, car avant de continuer à lire cet écrit des Cieux, n’attristez pas Notre Cher Seigneur Jésus et Sa Divine Mère si Sainte, en gardant un petit doute en vous, car votre incrédulité offense Notre père Eternel bien plus que tous vos péchés réunis, alors avant de vous mettre à me lire, soyez sûr que cette lettre est celle de votre petite sœur du Ciel, Mélanie, consolatrice de Notre Dame des douleurs.
Je suis née en France, à Corps, le 7 novembre 1831, dans une famille pauvre de 10 enfants et j’étais la quatrième enfant.
Mon père qui s’appelait Pierre, par son prénom, était un homme brave, pieux et travailleur, il était bûcheron et il m’aimait bien. Ma mère s’appelait Julie par son prénom, mais dés ma petite enfance, elle n’aimait pas mon caractère timide et attiré par le silence de la prière.
Au lieu de me considérer comme sa fille, j’étais sa servante et elle m’envoyait faire toutes les corvées.
Elle ne se souciait pas du tout de mon instruction, si bien que je ne pouvais pas apprendre à lire et à écrire.
Et elle m’envoyait dans les bois pour chercher les fagots pour le feu.
Mon réconfort, c’était quand le soir, je priais à genoux auprès de mon père qui nous faisait prier en famille avant d’aller dormir.
Ne recevant aucune affection par ma mère et traitée comme sa petite esclave, je me sentais abandonnée et je n’osais pas ouvrir la bouche, ma timidité étant devenue mon seul refuge, jusqu’au jour, où en pleurant dans les bois par ma douloureuse solitude de petite fille souffrant de faim et de froid, sans aucune aide de mes frères et sœurs, comme si j’étais une fille à mettre à part, voilà qu’un petit garçon de 12 ans, en tenue de petit prince semblant sortir d’une famille de nobles, voulut me tenir compagnie et il m’apprit à lire et à écrire, il m’apprit même l’Italien et le Grec.
Grâce à ma timidité, justement, je n’en parlais à personne, même pas à mon père, qui rentrait si fatigué du travail.
Peu à peu cet enfant mystérieux qui m’aimait tant, me prouva qu’il s’agissait de Jésus Lui-même,qui m’apprenait à prier tant de fois et Il me promit de me faire connaître Sa chère Maman du Ciel plus tard. 
Et un jour, envoyée par ma mère pour garder les vaches chez des gens, j’ai rencontré Maximin, berger lui aussi et c’est alors que le 19 septembre 1846, peu avant mes 15 ans, alors que Maximin avait 11 ans, dans la montagne au dessus du village de la Salette, Notre Dame nous apparut dans une immense lumière et, tout en pleurant, Elle nous confia un message de sa part à faire passer au peuple de chez nous, et un secret à chacun que nous savions bien garder.
Elle me confia la mission de prier pour l’Eglise de France et le retour en Gloire de Jésus et d’offrir toute ma vie à Notre Dame des Douleurs pour cela.
Je suis devenue religieuse chez les sœurs de la Providence, et là, les calomnies, les persécutions, sont devenues mon pain d’offrande pour le salut de la France et de tous les pays.
Rejetée par l’Evêque qui pensait que j’étais folle et sujette à des illusions prophétiques fausses puisque Notre Dame m-avait annoncé ce que serait l’Eglise des derniers temps, voilà que je suis partie au Carmel en Angleterre, puis en 1860, chez des religieuses de Marseille, puis en Grèce, avec la chance de revoir la Salette les 18 et 19 septembre 1902, mais en vivant les dernières années de ma vie en Italie, après avoir connu un douloureux procès en France, le Saint Siège ayant donné raison à l’Evêque d’Autun qui m’accusait en fait de délire mystique, j’offrais mon petit martyr pour consoler Notre Dame des Douleurs, recevant en Italie les stigmates cachés de la Passion de Jésus, avec le soutien d’un prêtre du pays, je suis partie vers le Ciel dans la nuit du 14 au 15 décembre 1904, à Altamura, laissant derrière moi la fondation d’une petite communauté religieuse très fervente.
J’ai alors reçu la Joie infinie d’avoir été emporté au Paradis par Notre dame et les Anges qui chantaient des cantiques glorieux.
Maintenant, du Paradis, avec Notre Dame, les Anges et les Saints du Ciel, auprès de mon Roi Jésus, du Père Eternel et d’Adonaï, le Roi des Anges qu’on appelle le Saint-Esprit, je prie pour vous tous et plus spécialement encore pour les pèlerins de Notre Dame de la Salette.
La prophétie de Notre Dame, que j’avais reçue dès 1846, s’adresse à vous maintenant, car la petite congrégation Ave-Maria-Corse qui voit le jour, est formée par les apôtres des derniers temps. †
C’est l’heure de croire à tout ce que Notre Dame a annoncé sur la montagne de la Salette, car l’heure de la conversion de l’Eglise de France et de tous les pays, a sonné, le livre du Divin Décret d’Amour du Christ Roi Sauveur est ouvert pour toutes les nations et ma joie est grande, de venir vous le dire sur l’invitation de tout le Ciel.
Réveillez-vous, au Nom de Dieu, réveillez-vous apôtres de Marie Immaculée, croyez en cette annonce de Vérité, car le retour Glorieux de Jésus arrive sous vos yeux.
Pénitence, Pénitence, Pénitence, priez beaucoup, la purification du monde a sonné.
Merci de m’avoir écouté, je suis votre petite sœur du Ciel, toujours à vos côtés et faites attention au message du 5 février.
† »